JARRY // NAIRI K.
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Quartier: Villeray || Intersections: Berri, Jarry
Mise en service: 1966 || Architecte: Lemoyne, Bland, Edwards & Shine.
Autobus: 31, 193


Naïri K., 26
Candidate, Conseillère de ville, Projet Montréal

DSCF1676

Détentrice d’un Bac en Communications et dans le processus de compléter une Maîtrise en Traduction, Naïri est une activiste et organisatrice politique qui se présente en tant que candidate pour Projet Montréal aux élections municipales de 2013. Sa famille est d’origine arménienne. Ses grands-parents paternels ont survécu au Génocide arménien et se sont évadés en Égypte, où ses parents sont nés et se sont rencontrés avant de s’établir à Montréal. Enfant, ado, adulte, Villeray lui a toujours plus. Elle a passé son enfance au splendide Parc Jarry, dans les commerces du coin (notamment des boulangeries portugaises) et dans les cours du voisinage. Le métro n’était pas trop loin, la 55 était à 2 minutes, proche du Marché Jean-Talon, de Parc-Ex, de la Petite Italie, du Mile-End, sans être trop achalandés. Il y a des familles, des jeunes, des vieux, des immigrants de longue date, des nouveaux arrivants, des beaux appartements abordables, des commerces locaux. Bref, tout.

Elle se présente dans le district de Norman-McLaren à Ville Saint Laurent, où elle a fréquenté l’école arménienne et a passé énormément de temps en tant qu’ado.. Elle trouve que c’est un bel arrondissement, malheureusement mal connu malgré la multitude de commerces locaux et des beaux parcs. Puisque St-Laurent a déjà été une ville à part, ils ont aussi de tout – mais il y a du travail à faire au niveau de l’infrastructure, et surtout sur l’administration. C’est pour ça qu’elle s’y présente. Il y a deux ans, elle a été introduit à Projet Montréal par Craig Sauvé et était immédiatement épatée par la « richesse inouïe » du parti et la manière dont ils présentent les enjeux et leur plateforme. À son sens, il n’y a qu’un seul parti qui ait réellement le désir d’améliorer la qualité de vie ici, qui a l’audace de présenter des projets novateurs, et avec assez d’intégrité pour garder leurs livres de comptabilité ouverts au public. Les gens trouvent les projets fous, mais c’est parce qu’ils sont habitués à se faire dire non, que la ville se détériore. Ce ne sera plus le cas, avec une équipe comme Projet Montréal.

Pour plus d’information sur sa candidature et le comté de Norman-Mclaren, lisez son entrevue dans Forget The Box [anglais].


"Faire campagne, c’est pas juste parler de nos idées, c’est aussi rencontrer des citoyen.ne.s, s’assurer que leurs préoccupations sont entendues, qu’ils se sentent rassurés et qu’ils se sentent bien représenté.e.s par leurs élu.e.s."

“Faire campagne, c’est pas juste parler de nos idées, c’est aussi rencontrer des citoyen.ne.s, s’assurer que leurs préoccupations sont entendues, qu’ils se sentent rassurés et qu’ils se sentent bien représenté.e.s par leurs élu.e.s.”




"Quand j'étais petite, mes voisins venaient du Vietnam, de l’Italie, du Salvador, de l’Uganda et surtout, d’ici. Pour moi, ça a toujours été ça, Montréal."

“Quand j’étais petite, mes voisins venaient du Vietnam, de l’Italie, du Salvador, de l’Uganda et surtout, d’ici. Pour moi, ça a toujours été ça, Montréal.”